Question 5
Bonjour Alta et merci de tout cœur
pour tout...
Voici ma question : Je laisse vivre ce
corps tout en étant en paix mais je ne suis pas libéré vivant. Je
pense qu'il subsiste une certaine identification et attachement au
corps physique et la poursuite mineure de certaines tendances...est
ce que si je poursuis avec un sérieux absolu la vie dans le Silence
sans chercher rien de plus, en me recentrant inlassablement dans le
"Je Suis" lorsqu'il le faut; est ce que cela suffit et
conduit assurément à la Libération ou bien cela est-il vain ?
Merci d'avance cher frère d'amour,
Gros Bisous de Cœur à Cœur
Fabien H
Téléchargement MP3 : Q-5Satsang 20-02-2014
Réponse :
La libération, elle est collective. La libération individuelle, elle est, si vous l’avez décidé. Cette décision se fait par l’abandon à la Lumière, par le « Je suis » si vous voulez, mais elle se fait surtout par le renoncement. Non pas le renoncement à la vie. C’est à nouveau de venir dans cette fluidité, dans cette transparence où tout ce qui peut arriver dans la vie, agréable comme désagréable, ne fait que vous traverser. Vous le vivez pleinement, entièrement, sans aucun refus, sans aucun déni, sans aucune contraction dès l’instant où vous acceptez cela. Alors, oui, Fabien, la réponse était bien évidemment celle-là. Continuez à être dans ce silence, continuez, s’il y a besoin de béquilles, je sais pas moi, d’écouter des canalisations si vous le voulez, poser des cristaux si vous le voulez; promenez dans la nature ou jardinez, lisez ou faites des puzzles, peu importe. Mais que votre conscience soit toujours, et elle le sera de plus en plus, dans cette attitude, dans ce point-de-vue, dans cette tranquillité, dans cette joie ineffable. Parce que tout le reste n’a plus vraiment aucune importance. Vous êtes là réellement libéré. C’est pas une question.
Téléchargement Question 5 (PDF) : Question 5 – 20 février 2014
Téléchargement MP3 : Q-5Satsang 20-02-2014
Réponse :
La libération, elle est collective. La libération individuelle, elle est, si vous l’avez décidé. Cette décision se fait par l’abandon à la Lumière, par le « Je suis » si vous voulez, mais elle se fait surtout par le renoncement. Non pas le renoncement à la vie. C’est à nouveau de venir dans cette fluidité, dans cette transparence où tout ce qui peut arriver dans la vie, agréable comme désagréable, ne fait que vous traverser. Vous le vivez pleinement, entièrement, sans aucun refus, sans aucun déni, sans aucune contraction dès l’instant où vous acceptez cela. Alors, oui, Fabien, la réponse était bien évidemment celle-là. Continuez à être dans ce silence, continuez, s’il y a besoin de béquilles, je sais pas moi, d’écouter des canalisations si vous le voulez, poser des cristaux si vous le voulez; promenez dans la nature ou jardinez, lisez ou faites des puzzles, peu importe. Mais que votre conscience soit toujours, et elle le sera de plus en plus, dans cette attitude, dans ce point-de-vue, dans cette tranquillité, dans cette joie ineffable. Parce que tout le reste n’a plus vraiment aucune importance. Vous êtes là réellement libéré. C’est pas une question.
Effectivement, l’Onde de Vie a
été un grand agent libérateur, facilitateur, je dirais, mais rappelez-vous-même
dans la montée de l’Onde de Vie, il y a des gens qui ont senti l’Onde de Vie
mais qui ont senti que l’énergie ne montait pas au-dessus des deux premiers
chakras. Alors, est-ce qu’on est responsable de ce qui se passe au niveau des
deux premiers chakras? Non. C’est toutes les pulsions de vie prométhéennes,
celles dont parlait Ma Ananda Moyi, c’est-à-dire toutes celles qui font que
l’âme est attirée vers la matière de façon inexorable du fait des lois de
l’enfermement archontique, du fait de la loi de karma, et à aucun moment cette
âme ne peut se libérer. Il n’y a que l’Esprit qui libère. Donc, l’Esprit c’est
quoi en ce monde? C’est le silence, c’est la Joie, c’est la Paix, c’est la
sérénité, c’est la résilience, c’est la transcendance, et c’est indépendant des
circonstances extérieures encore une fois.
Donc, ne – comme on dit – ne vous
mettez pas martel en tête le jour où vous êtes libéré vous le savez. Vous
n’avez même pas besoin, alors bien évidemment, dans les premières étapes de
l’Absolu c’est tellement énorme et en même temps tellement simple, que certains
font le retranscrire par des mots (comme je l’ai fait en 2012 à travers des
textes que j’ai reçus), vont entrer en contact avec Marie, avec le Christ, avec
d’autres entités qui apportent toujours quelque chose. Mais rappelez-vous qu’à
un moment donné, même cela doit disparaitre en totalité. Ça été quelque qui a
été construit, ça été quelque chose qui a permis d’activer des circuits,
d’activer des brins d’ADN, d’activer des vibrations cellulaires, des taux
vibratoires, ce que vous voulez. Mais ce n’est pas la finalité. La finalité,
c’est vous. La finalité, ce n’est pas ce monde.
Les civilisations passent et
trépassent, toutes, sans exception, sur Terre. Et toujours pour des raisons qui
sont plus ou moins connues si elles sont récentes ou occultées si elles sont
plus anciennes mais retrouvées aujourd’hui de façon éclatante, même sans parler
d’Internet, avec le nombre de livres qui sortent de scientifiques tout à fait
reconnus, sur l’histoire du monde qui n’est pas vraiment telle qu’on nous l’a
présenté à travers le darwinisme ou à travers Einstein ou encore Freud. Ça, ça
concerne la personnalité, ça concerne pas l’Éternité.
Donc, faire ce qu’il y a à faire.
Faire ce que la vie donne à faire et constater les fruits que vous portez,
c’est-à-dire votre capacité à faire tout en Étant, c’est-à-dire sans vouloir,
sans volonté personnelle, sans je. Continuer à vivre cette vie remplie de Joie
et de Paix.
Source : Satsang du Collectif de l’UN
(20 février 2014)
Transcription par : Johanne Barrette
português
Download (Tradução em português PDF)
Tradução para o português : Célia G.
